mardi 11 septembre 2012

Mariage et adoption pour les homosexuels


Un sujet brûlant...

Afin qu'il n'y ait pas de malentendus, je précise que je parle du mariage et de l'adoption en France et comme la France est un Etat Laïque, je ne prendrai position que sur la dimension civile du Mariage.

Mes Définitions :

  • Le Mariage est un acte légal qui donne un statut particulier au couple qui le contracte, dans le but de favoriser le développement de la famille et par là même de notre espèce, en constituant de façon durable un cadre de vie commun aux parents et aux enfants pour leur épanouissement optimal.
  • L'homosexualité est un état naturel d'attirance d'un être vers un autre être de même sexe.


Les constatations :
Les homosexuels sont des Etres Humains normaux et même si certains estiment que cet état n’est pas acceptable par la Société, cela ne les prive aucunement des qualités requises pour élever correctement des enfants.

Conclusion :
Si les homosexuels ne sont pas sexuellement, d'une grande utilité pour la reproduction de notre espèce, ils peuvent y participer à travers l'éducation des enfants... Pour ajouter un peu d'huile sur le feu, je constate aussi que les pédérastes (rien à voir avec les homosexuels) excellent dans l'éducation de nos enfants malgré leur déviance sexuelle. Il est vrai que celle-là n’est pas (plus ou pas encore ?) acceptée par la Société…




lundi 10 septembre 2012

"Dis-moi qui tu hantes...

et je te dirai qui tu es" (Miguel de Cervantès).
Je me dis souvent que deux êtres intelligents devraient toujours s'entendre. Lors d'une discussion, il n'y a que trois raisons qui font que l'on ne tombe pas d'accord :


  • L'un des deux interlocuteurs est bête 
  • on ne parle pas de la même chose
  • on n'a pas le même but.

C'est bien pour cela que la Science n'est pas discutée. Outre le fait que les scientifiques sont reconnus comme intelligents, les conditions extrêmement sévères de l'expérimentation ou de la démonstration ont pour rôle de s'assurer que l'on parle bien de la même chose. Le but de la Science est d'une simplicité ne pouvant souffrir d'aucune interprétation puisqu'il consiste tout simplement à décrire l'univers dans lequel nous sommes plongés. (L'usage en est un autre...).

A ce sujet, je tiens à préciser que lorsque j'argumente sur un sujet autre que scientifique, j'ai toujours en ligne de mire "le bonheur de chacun". Peut-il exister un autre moteur pour l'Etre Humain, que la recherche du bonheur? Finalement, tout le débat ne consiste-t-il pas à déterminer ce qui concours au bonheur de chacun?

Petite pub. pour mon gagne-pain actuel...

dimanche 9 septembre 2012

L'Homme est foncièrement mauvais...

C'est ce que j'ai l'habitude de dire, aussi je tiens à préciser ce que j'entends par là. Ma tendance naturelle à caricaturer me fait employer le terme "MAUVAIS" au lieu d'ÉGOÏSTE", l'égoïsme allant me semble t-il, à l'encontre d'un développement harmonieux de nos sociétés.

Les preuves ?
  • Chacun de nous est sorti gagnant de la lutte qu'il a livré contre 20 à 150 millions de candidats à la vie  (spermatozoïdes).  Pas de quartiers ! Pas de politesse (je vous en prie, passez les premiers) ! C'est le chacun pour soi...
  • Avez-vous déjà rencontré un individu qui se rend malheureux pour aider les autres ? Le Christ, au-delà de la souffrance ou Mère Théresa ne tiraient-ils pas plaisir et satisfaction de leur bonté ? En général, les personnes perçues comme altruistes rayonnent de bonheur.
  • D'ailleurs, la théorie de Darwin ne permettrai pas d'envisager longtemps la survie (ni l'apparition d'ailleurs) d'une espèce dont les individus ne se préoccupent pas d'abord de leur propre survie.
L'altruisme est une caractéristique purement Humaine à laquelle chacun devrait aspirer mais qui demeure d'une fragilité redoutable... Que surgissent quelques difficultés et nous voici immédiatement revenus à un stade des plus primitifs !

Petite pub. pour mon gagne-pain actuel...

vendredi 7 septembre 2012

L'intelligence...

Comme il est probable que je fasse allusion à l'intelligence dans mes articles, il me semble indispensable de préciser ce que j'entends par intelligence, dont la mesure est un sujet délicat s'il en est !


Ma définition :
L’intelligence d’un individu (celle dont la société a besoin pour se développer) se mesure à travers trois facultés :
  • Perception
  • Raison
  • Expression
Je perçois, j’analyse et je communique le résultat de mon analyse. Un poète aux facultés de perception et d’expression exacerbées, totalement nul en Mathématique pourra se retrouver bien « classé » dans cette définition et  le sourd-muet comprendra ce que je veux dire, lui qu’on prend le plus souvent  au premier abord pour un imbécile, diminué qu'il est par un manque crucial de facultés de perceptions et d'expressions.

On peut bien sûr, en discuter ;-)

mercredi 5 septembre 2012

Aberrations ou évidences.

Il nous arrive tous de noter des aberrations dans le fonctionnement de notre société. Ce sujet pourrait, grâce aux commentaires que vous laisseriez, être l'occasion de les rassembler. Peut-être que nos gouvernants y jetteront un coup d'œil... Je commence donc.

Compétitivité = mobilité professionnelle et créativité :
C'est le message que tente de nous faire passer nos gouvernants depuis longtemps. Aussi suis-je étonné qu'il existe encore une rubrique ancienneté (que vous perdez si vous changez d'activité) dans les bulletins de salaire.

Pour ce qui est de la créativité, ce n'est pas une ligne de bulletin de salaire à supprimer, mais tout un système éducatif à revoir... l'accès à Internet lors des examens et des concours ? C'est sûr que le sujet d'examen ne pourra plus se contenter de vous demander de citer, de lister ou de réciter... mais favorisera peut-être enfin l'intelligence et la créativité.

Petite pub. pour mon gagne-pain actuel...

La crise du logement

Le gouvernement Ayrault a décidé de prendre le problème du logement à bras le corps. Bonne initiative.  Il est prêt à offrir des terrains aux collectivités locales pour les aider à tenir leurs obligations en matière de construction de logements sociaux.

Pourquoi ne pas faire preuve d'inventivité ?

Constat :
  • L'achat d'un logement se révèle souvent impossible pour un jeune couple, vu les tarifs pratiqués dans les grandes villes, celles justement où l'on s'installe pour espérer obtenir ou conserver un emploi. L'accès au crédit est difficile voire impossible pour qui ne possède pas des biens ou une excellente situation professionnelle tant en termes de revenus qu'en niveau de rémunération.
  • La location dans le secteur privé est interdite à tous ceux qui ne sont pas fonctionnaires ou qui ne disposent pas d'un CDI en béton. (A ce propos, la suppression des CDD  et CDI  au profit d'un seul et unique contrat de travail serait comme l'avait proposé le gouvernement précédent, un acte de justice bienvenu).
  • L'accès à un logement social se heurte au manque de logements disponibles et/ou au fait que la concentration de populations en difficultés dans les quartiers où ils se situent, engendre un environnement (Ecoles, sécurité, etc...) qu'une famille soucieuse du bien-être de ses enfants, ne peut accepter.

Alors ? Une solution : Amodiation + prêt aidé
L'Etat pourrait utiliser ses terrains et une partie du budget qu'il consacre à l'aide au logement d'une manière astucieuse :
Pour les logements individuels : Amodiation des terrains à des particuliers et financement aidé pour la construction de la maison au libre choix de l'acquéreur.
Pour les logements collectifs : Concession des terrains aux organismes hlm qui amodient ensuite les appartements aux familles.

Avantages :
  • Remise dans le pot commun de l'Etat des logements sociaux au bout de 99 ans, ce qui évite l'inflation des prix liée au sempiternel (et surtout éternel) droit de propriété...
  • Meilleure appropriation du logement par le locataire  (notamment au niveau de l'entretien et de l'environnement immédiat) puisqu'il en est propriétaire (pendant 99 ans).
Inconvénients ?
Pour l'instant je n'en vois pas mis à part les modalités de mise en œuvre... A vous de les faire apparaître !

Petite pub. pour mon gagne-pain actuel...

La délinquance des jeunes. Faut-il être sévère ?

Je parle ici de la délinquance des jeunes ou de la primo délinquance. Pour les multirécidivistes de plus de 25 ans, le discours serait différent...

Et si la vérité était dans l'équilibre ? Qui peut nier (à moins de ne jamais avoir fréquenté de population carcérale) que les fréquentations que l'on y fait ne favorisent pas la réhabilitation des individus.
Par expérience, (j'ai eu des enfants d'origine Musulmane ayant eu des problèmes avec la justice), je peux rapporter quelques évidences :

RAPIDE :
  • Les sanctions doivent être rapides, justes et progressivement sévères si il y a récidive. Qui pourrait prétendre éduquer un enfant en lui infligeant une punition trois semaines après avoir fait une bêtise ? J'ai vu la Justice rattraper des jeunes au moment où ils étaient "rangés des voitures" provoquant chez eux un sentiment d'injustice tel qu'ils sont retombés dans la délinquance...

JUSTE :
  • La justice doit prendre en compte le fait que de nombreux délinquants d'origine musulmane, outre le fait d'être issus de quartier défavorisés, ont des difficultés à comprendre une justice moralisatrice... Pour un Musulman, le mot Respect n'a pas le même sens que pour un chrétien... Pour les Chrétiens, le Respect, c'est le fait d'accorder de l'importance aux qualités de son Prochain. Pour un Musulman, le respect, c'est avant tout l'obéissance et la soumission à la volonté de la Communauté qui elle même relaie celle de Mahomet qui lui-même a transmis celle de Dieu à travers le Coran... Comment peuvent t-il respecter leur communauté dont le discours archaïque ne peut se concilier avec les exigences de la société moderne et laïque dans laquelle ils sont plongés et qui valorise avant tout l'individu ? Comment peuvent-il respecter des décisions de Justice trop uniquement moralisatrices ?

La solution ? Éviter la concentration d'enfants issus de modèles culturels archaïques dans les mêmes lieux d'éducation. Exemple : Classe de CP de l'Ecole Primaire de la cité X : 30 élèves et 25 Musulmans...

SÉVÈRE :
  • La Sévérité de la Justice ne peux pas passer uniquement par un alourdissement des peines impliquant un emprisonnement précoce. Rappelons-nous que dans une "cité", le premier séjour en prison constitue un marchepied vers le statut de "Caïd". Et là, par contre, je n'ai pas de solution autre qu'une extrême personnalisation des peines, très difficile à mettre en oeuvre puisqu'il semble difficile de juger en fonction de l’appartenance à une communauté. Ce qui sera ressenti comme sévère pour l'un ne sera qu'une simple promenade de santé pour un autre. A ce sujet, je me souviens du premier contact avec la femme qui deviendra un temps mon épouse:
    Je rentre chez elle, elle avait des enfants et je l'entends leur dire d'un ton joyeux : "Tonton est sortit de prison !"... Vous imaginez le choc, moi qui par mon milieu d'origine, pensait que la prison était réservé à une minorité d'individus for peu recommandables ! J'ai rencontré le "Tonton" un peu plus tard : Fort sympathique au demeurant, mais il n'est pas resté longtemps en liberté...

CONCLUSION :
Je rejoins à la fois les partisans de la sévérité et ceux de l'éducation, mais les termes sont différents. Rapidité, Personnalisation des peines, sévérité d'un côté, éducation de l'autre. Dans les deux cas, ce sont de gros moyens financiers à mettre en œuvre… La Société a donc le choix…

Petite pub. pour mon gagne-pain actuel...